• La collecte, qui implique une relation de confiance sans faille avec les individus qui, à travers leurs actions digitales, en sont à la fois les sujets et les principaux producteurs et contributeurs plus ou moins volontaires. À cet égard, le consentement des individus reste le critère essentiel de la pérennité des approches. Les consommateurs n’échangeront leurs données personnelles que si les conditions de l’échange restent équitables.
• La valorisation, qui résulte du sens apporté par les données grâce à différentes techniques d’agrégation, de comparaison, de modélisation prédictive. Et qui,
au-delà de l’utilisation de ces données au sein de l’entreprise, permettra la création de nouveaux partenariats avec la mise en commun d’informations, voire à la création de structures économiques dédiées à l’agrégation et à la valorisation des données.
• La redistribution, ultime étape de la monétisation, à travers des applications présentant l’information valorisée sous une forme intelligible ou d’interfaces de programmation (API), permettant le développement d’un véritable écosystème applicatif exploitant ces données sous forme de services à forte valeur ajoutée.